1960 à 1983


ASTON-MARTIN DB4 – 1963
AUSTIN-HEALAY SPRITE MK 4 – 1968
AUSTIN-HEALAY SPRITE – 1970
BENTLEY EIGHT Limousine – 1980
BENTLEY EIGHT Coupé – 1980
CITROËN AMI 6 – 1962
En avril 1961, l’Ami 6 s’intercale au catalogue entre les populaires 2 CV et les révolutionnaires DS.
C’est la première Citroën fabriquée dans la nouvelle usine de Rennes-la-Janais.
Sa ligne audacieuse, caractérisée par une lunette arrière « en Z », permettait aux passagers arrière plus de confort
CITROËN 2CV – 1962
En 1935, Michelin, fabricant français de pneumatiques, rachète Citroën et place Pierre Boulanger comme patron. Il a l’idée de créer une voiture destinée aux classes sociales du monde rural et à faibles revenus, le souci premier étant de permettre à la maison mère Michelin d’accroître son activité de pneumatiques.
S’inspirant d’une enquête faite auprès d’un public ciblé, envoyé à plusieurs milliers d’exemplaires à travers l’ensemble du territoire, Boulanger écrit le cahier des charges précis et draconien, définissant le projet « TPV » (« toute petite voiture ») 2CV avec quatre places assises, 50 kg de bagages transportables, 2 CV fiscaux, traction avant (comme les 11 et 15/Six), 60 km/h en vitesse de pointe, boîte à trois vitesses, facile d’entretien, possédant une suspension permettant de traverser un champ labouré avec un panier d’œufs sans en casser un seul, et ne consommant que 3 litres aux 100 kilomètres. Elle doit pouvoir être conduite facilement, par un débutant ou une femme. Et surtout, aucun signe ostentatoire. Le slogan publicitaire « 4 roues sous 1 parapluie » de la fin des années 1960, résume assez bien l’esprit général de ce que le patron attendait.
Il désigne André Lefebvre à la tête du bureau d’études, qui a déjà fait ses preuves sur la Traction. Il aura pour associés, Pierre Meyer, Alphonse Forceau s’occupant de la suspension, Jean Muratet spécialiste de la carrosserie, et Flaminio Bertoni.
CITROËN AMI 6 – 1963
La Citroën Ami 6 (populairement appelée la « 3CV ») est un modèle de berline produit par le constructeur automobile français Citroën de 1961 à 1969.
Les Citroën Ami 6 sont construites sur la plateforme des 2 CV.
CITROËN 2CV AZAM – 1964
CITROËN 2CV AZAM – 1964
CITROËN 2CV AZAM – 1966
CITROËN 2CV Fourgonnette – 1970
CITROËN 2CV – 1980
CITROËN 2CV Charleston – 1983
CITROËN AMI 6 BREAK – 1969
CITROËN MÉHARI – 1972
La Citroën Méhari est basée sur le châssis plate-forme de la Dyane et est équipée du moteur Citroën de 602 cm3 de l’Ami 6. Les pièces composant la voiture, à part la carrosserie et la bâche, proviennent pour l’essentiel d’autres modèles de la marque : moteur boîte de vitesses train AV d’Ami 6, volant de 2 CV, roues, phares, essuie-glaces, freins à main de Dyane, feux arrières de fourgon Type H. La suspension est à ressorts latéraux sous caisse, bras et batteurs à inertie puis avec amortisseurs latéraux.
La carrosserie, en ABS (Acrilonitrile Butadiène Styrène) embouti à chaud et teintée dans la masse, peut reprendre sa forme initiale après un léger choc. Elle est soutenue par deux cadres métalliques en treillis tubulaires boulonnés à la plate-forme, un pour la partie avant et un second pour la partie arrière.
CITROËN ID 20 Super – 1970
CITROËN DS – 1972
CITROËN DS 20 – 1973
CITROËN DS 21 Super 5 – 1974
CITROËN 2CV DOLLY – 1976
CITROËN DYANE Type CABAN – 1977
CITROËN ACADIANE – 1981
CITROËN Type HY- 1979
CITROËN Type HY Diesel – 1980
CITROËN 2 CV – 1983
CITROËN VISA – 1983
FIAT 500 DÉCOUVRABLE – 1966
FIAT 500 type 110 F – 1966
C’est au Salon de Genève, en mars 1965 que Fiat dévvoile la 500 F. « F » et non pas « E » car la version « E » correspond à une finition « America » de la 500 D.
La version « F » a fait dire aux critiques automobiles italiens que la Fiat Nuova 500 était arrivée à maturité. Elle recevait des portes ouvrant contre le vent, un parebrise augmenté, et tout l’intérieur sera revu avec un niveau de finition de bonne facture. Son moteur gagna 1/2 ch ce qui portait sa puissance à 18 ch.
FIAT 500 – 1971
FIAT 500 – 1971
FIAT 850 COUPÉ SPORT – 1968
FORD MUSTANGCABRIOLET – 1965
FORD MUSTANG Type 289 – 1966
FORD MUSTANG V8 – 1966
La Ford Mustang est un célèbre modèle d’automobile construit par Ford depuis 1964.
Fait unique pour la marque Ford, les Mustang arborent leur propre logotype de calanddre – un mustang au galop – à la place de celui du constructeur.
FORD Gazelle – 1968
FORD MUSTANG – 1968
FORD MUSTANG – 1968
FORD CAPRI 1,6 GT – 1974
FORD CAPRI 2,3 V6 – 1978
HOTCHKISS WILLYS Type JH 102 – 1961
Convaincu de la polyvalence des Jeeps et de leur avenir à la fois dans les domaines civils et militaires, le président d’Hotchkiss, Paul Richard, lance sa firme dès 1954 dans la fabrication de ces dernières pour le marché français. Hotchkiss est déjà importateur, via sa filiale Sofia, des Jeeps civiles Willys depuis 1946. C’est donc sans difficulté qu’Hotchkiss obtient d’abord la licence de fabrication des pièces détachées en 1952, puis un an plus tard, celle de la fabrication des Jeeps civiles auprès de Willys-Overland.
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JAGUAR MK 2 – 1967
Dès son apparition en 1959, elle ajoute à la gamme une nouvelle présentation et un nouveau moteur, mais le succès sera difficile au départ.
Elle séduira par son élégance.
61 000 unités furent produitent jusqu’en 1967.
JAGUAR 240 MK 2 – 1968
JAGUAR MK 2 – 1969
La marque est née en 1922 sous le nom de SS « Swallov Sporto » qui construisait des sidecars en Angleterre par un jeune amateur de motos William Lyons âgé de 21 ans. 
En 1927 apparaît la première voiture à partir d’un châssis Austin Seven. 
En 1945, les initiales SS disparaissent pour adopter la marque Jaguar qui était l’appellation d’un modèle synonyme de grâce, puissance et élégance qui deviendra donc le nom de la marque.
La longue lignée de Jaguar va être déclinée en de nombreux modèles toujours très prisés.
JEEP MARTINEZ 3 CV – 1970
Fin 1967, les frères Martinez présentent une Citroën 2 CV assez spéciale. Sur une plateforme raccourcie, ils ont étudié et conçu une voiture très originale qui reprenait la forme générale de la Jeep Willys. La production sera avortée avec la sortie de la Méhari quelques mois plus tard. La production a dû atteindre un chiffre compris entre 20 et 40 exemplaires. Il en resterait une petite dizaine.
LANCIA FLUVIA – 1966
MATRA BAGHEERA – 1980
MERCEDES 230 SL PAGODE – 1964
Présentée au Salon de Genève en mars 1963, la 230 SL Pagode frôle les 200 km/h et abat le 0 à 100 km/h en 11 secondes.
La Pagode suivra, tout au long de sa carrière, l’évolution des motorisations de la Classe S, devenant 250 SL, puis 280 SL. Au total, jusqu’à la fin mars 1971, 48 912 exemplaires des trois types auront été diffusés sur une durée de huit ans, soit un succès honorable compte-tenu du prix de la voiture.
MERCEDES 230 SL PAGODE – 1964
MERCEDES COUPE CABRIOLET 280 SL – 1968
En 1885 Carl Benz construit un tricycle à pétrole, et, l’année suivante Gottfieb Daimber motorise une calèche.
C’est Emil Jellineck qui imposera le nom de sa fille Mercedes en tant que marque qui fut déposée en 1902.
Ces voitures étaient très appréciées pour leur confort, leur technique, et leur performance.
Les marques Bentz et Daimber fusionnèrent en 1926.
MERCEDES450 SL – 1974
En 1971, Mercedes-Benz dévoile la remplaçante de sa bête d’image, le SL type R107. Fini le toit Pagode, mais le SL possède toujours son hard-top, véritable marque de fabrique des SL.
Mais plus encore que la voiture en elle-même, le SL type R107 symbolise pour toute une génération une image de la réussite à l’américaine.
V8 4 250 cm3, 225 ch, 218 km/h, boîte auto imposée, sur la version USA 195 ch.
MG C Roadster – 1969
Date de production avril 1969
4 vitesses + overdrive
MORGAN Plus 8 – 1977
MORGAN PLUS 8 – 1977
PANHARD PL 17 – 1965
PEUGEOT 204  CABRIOLET – 1970
PEUGEOT 403 – 1961La 403 (8 CV) a été présentée pour la première fois le 20 avril 1955
au palais de Chaillot au Trocadero à Paris.
Carrosserie : réalisée par Peugeot en collaboration avec Pininfarina, la coque est autoportante monobloc en acier.
Moteurs (quatre cylindres en ligne) avec culasse en Alpax à chambres hémisphériques et carburateur Solex.
Motorisations essence (8 CV) d’une cylindrée de 1 468 cm³ (alésage × course : 80 × 73), développe une puissance de 58 ch DIN à 4 900 tr/min.
Elle est associée à une boîte à quatre rapports (dont la quatrième est en position décalée, dite « surmultipliée », permettant une économie de carburant).
Direction à crémaillère.
Transmission par embrayage à disque ou semi-automatique (coupleur Jaeger électromagnétique).
Suspensions : roues indépendantes, ressorts transversaux semi-elliptiques et bras triangulés à l’avant ; essieu rigide, ressorts hélicoïdaux et amortisseurs hydrauliques à arrière et deux jambes de force pour le maintien du pont.
Freinage hydraulique, à tambours à l’avant et à l’arrière.
PEUGEOT 404  BERLINE TO – 1962
Lors de sa présentation en mai 1960, la Peugeot 404 berline va surprendre le grand public par sa ligne fortement inspiré par le style américain. Sa silhouette est le fruit du carrossier turinois Batista Pininfarina.
Ce changement de style (surtout par rapport à sa devancière la 403) va contribuer à améliorer l’image de la marque et à contré sa rivale de l’époque la Citroen DS. Elle s’imposera rapidement comme une référence du moment et touchera une clientèle rajeunie.
Si la 404, à l’instar de la précédente Peugeot 403, est une propulsion avec un essieu arrière rigide guidé, elle adopte désormais des ressorts de suspensions avant hélicoïdaux (ressorts en spirale) à la place du traditionnel ressort transversal à lames présent depuis la 201.
PEUGEOT 404  CABRIOLET – 1963
Fort du succès rapide de la Peugeot 404 berline, le constructeur décline le modèle en cabriolet (1961) puis en coupé (1962). Ces silhouettes recevront des éléments de carrosserie spécifique et non reprise de la berline.
La ligne élégante avec se décrochage au niveau de la ceinture de caisse est l’oeuvre du carrossier Pininfarina. Il réalise à cette occasion le premier coupé et cabriolet pour la marque au lion.
PEUGEOT 404  BERLINE – 1965
PEUGEOT 404  COUPÉ – 1965Les stylistes et les ingénieurs useront de leurs recherches pour donner toujours une certaine élégance au modèle ; des nouvelles couleurs firent leur apparition (turquoise, l’orange tango, gris tourterelle).
Il fut fabriqué 6830 coupés.
PEUGEOT 404 CABRIOLET – 1966
Fabriquée en 1960 et 1968, la 404 Peugeot Cabriolet inaugure la série des 04.
Sa ligne élégante et tantinet bourgeoise lui fera connaître une
belle carrière.
Les cabriolets avaient une ligne séduisante qui coiffait une gamme avec panache.
Il fut construit 10389 cabriolets.
PEUGEOT 204 – 1974
PEUGEOT 104 S – 1979
Lancée en 1972, la 104 est une petite voiture française construite par Peugeot à Mulhouse (Haut-Rhin).
Elle a d’abord été lancée en berline bi-corps à 4 portes, avec le « moteur X » de 954 cm³, 45 ch, en aluminium à arbre à cames en tête, puis en coupé 3 portes. Celui-ci connut des déclinaisons sportives.
La berline est la 4 portes la plus courte du monde.
En 1977, apparitions du moteur 6 CV, 1124 cm³, 50 ch, et du hayon sur la berline, qui devient alors une 5 portes.
En 1979, apparition d’une berline 104 S, 1124 cm³, 66 ch, reprenant la sellerie de la série spéciale Sundgau.
RENAULT 4 CV – 1960
RENAULT FLORIDE S  6CV – 1962
1957,  PIERRE  DREYFUS  (président de la régie) en voyage en Floride, donna le nom à cette voiture, destinée à l’exportation vers ce pays.
Mars 1958 au salon de Genève présentation du prototype de la Floride sur le stand GHIA (carrossier italien).
1959 une nouvelle version arrive au millésime le cabriolet.
Au salon de l’automobile  1960,  la promotion de cette voiture fut faite par la jeune actrice de l’époque :  Brigitte  BARDOT.
Mars 1961, présentation de la Floride S équipée du moteur Sierra 956 cm3 de la R 8 dans sa version 48 CV, d’une boite 4 vitesses et, de 4 freins à disques.
Au salon de l’automobile en 1963, disparition de la Floride
remplacée par la Caravelle.
RENAULT CARAVELLE CABRIOLET – 1964
RENAULT CARAVELLE COUPÉ TYPE R1133 – 1965
La Renault Caravelle est une voiture à deux portes coupé ou cabriolet fabriquée par le constructeur Renault, qui remplace la Floride, sigle Caravelle sur la face avant, nouvel intérieur, lunette arrière de la capote élargie, moteur 1 108 cm3, carburateur Solex avec starter automatique, boîte 4 vitesses toutes synchros, vase d’expansion en laiton situé dans l’aile arrière droite, nouvelles couleurs, le hard top reprend désormais le dessin du coupé caravelle de la série précédente.
Puissance 48 chevaux à 5100 tr/min ; poids 800 kg ;
vitesse max 145 km/h.
RENAULT 10 MAJOR R 1190 – 1965
RENAULT Dauphine Gordini R 1095 – 1966
4 cylindres en ligne à culbuteurs, vilebrequin trois paliers.
Cylindrée 845cm3 (58×80 mm).
Puissance maxi
(ch SAE) à (tr/min)
40 à 5000.
Carburateur Solex 32 PIBT.
Boite 4 vitesses synchronisées.
Freins à disques.
Vitesse maxi 127 km/h.
RENAULT 4 L – 1969
La R4 est présentée en juillet 1961. C’est une 5 portes dotée d’un hayon arrière ouvrant sur un espace modulable. Il suffit de basculer la banquette arrière pour transformer sa berline en camionnette ou le contraire. Révolutionnaire !La Renault 4 est la première traction avant sur une voiture automobile de tourisme de la marque Renault ,elle reste la voiture française la plus vendue, avec 8 millions d’ exemplaires sortis entre 1961 et 1994
RENAULT 4 L – 1974
Les couleurs de la 4L 4 places par Renault en1962 étaient de 5 :
Gris olivier – Gris pyramide – Vert sirocco – Bleu, Ile de France
– Rouge estérel.

Une voyageuse à toute épreuve.
Pour promotionner sa 4L, Renault le propose en :
. 1962 à l’équipe de France de championnat alpin ;
. 1963 à 4200 lectrices du magazine « ELLE » qui testeront la « Parisienne » ;
. 1964, 4 jeunes femmes parcoureront 40 000 kms de la terre de feu à Anchorage.
Dès 1966, elle s’élancera vers l’Afrique, le Cap Nord, l’Inde et la Patagonie.
RENAULT FUEGO – 1980
La Renault Fuégo est un coupé 4 places présentée lors du salon de Genève en mars 1980 en remplacement des R15 et R17.
Voiture au style emblématique au début des années 1980 en Europe, elle connaîtra une carrière plus longue et relativement plus de succès en Argentine.
RENAULT FUEGO TURBO – 1984
RENAULT R2087 – 1964
Le R 2087 prend le relais de ses deux prédécesseurs, tant en version civile que militaires.
En version civil, le R 2087 et produit en châssis cabine, fourgon et plateau bâché. Le Torpédo bâché est produit a partir d’Avril 1960.
Il y reçoit un équipement électrique alimenté en 12 volts et 45 ampères. Sa peinture reste toujours le gris 658. Le R 2087 est capable de grimper des pentes de 38%.
Il posséde un moteur type 671-4 avec une puissance de 54 ch.
SIMCA ARONDE ÉTOILE P 60 – 1960
SIMCA 1200 S Coupé – 1969
Dérivé de la Simca 1000, le joli petit coupé Simca dessiné chez Bertone se construit une belle popularité mais manque de puissance pour figurer au rang d’authentique sportive. Il faudra attendre l’arrivée du nouveau moteur 1200 S pour qu’il obtienne enfin ses lettres de noblesse.
SIMCA 1200 S Coupé – 1970
TRIUMPH TR4 – 1962
TRIUMPH 2500 PINK – 1970
TRIUMPH TR6 – 1970
TRIUMPH SPITFIRE 1500 HF – 1977
VOLKSWAGEN COCCINELLE CABRIOLET – 1972
VOLKSWAGEN COCCINELLE – 1974
La Volkswagen Coccinelle est la première automobile construite par le constructeur allemand Volkswagen, dont le nom signifie « voiture du peuple ». Le refroidissement par air du moteur simplifie les opérations d’entretien et garantit un fonctionnement régulier de la mécanique, il a pour conséquence un habitacle bruyant en raison de la turbine.
VOLVO 121 – 1966
La Volvo Amazon, également connue sous le nom de Série 120, est une automobile construite par la firme Volvo.
La 121 est équipée du moteur B18 (1800 cm3), qui proposait 4 options de boîte à vitesses.
VOLVO 1800 ES BREAK DE CHASSE – 1971