1920 à 1940


AUSTIN TENFOUR – 1937
Constructeur Austin – Années de production (1932 – 1947)
290 000 exemplaires – Moteur : 4 cylindres à soupapes latérales ; 1 125 cm3 ; Puissance maximale 16 kW
Boîte de vitesses manuelle 4 rapports – Suspensions Ressorts à lames semi-elliptiques, Freins Par câbles.
Herbert Austin (1866-1941)  quitte la firme WOLSELEY en 1905 pour créer sa propre marque. Ses premiers modèles étaient de grosses voitures de luxe en 1930.  Austin offre une gamme pour la clientèle traditionnelle en 1950. La Société fusionnera avec B.M.C., son éternel rival MORRIS, qui finira par l’absorber dans les années 1980.
BENJAMIN Type R – 1926
Moteur 1100 culbuté Chapuis Dornier.
Benjamin était une marque française d’automobiles fondée par Maurice Jeanson à Asnières en 1921.
Il débuta par la production de plusieurs cyclecars baptisés type A, B et C, un coupé deux places doté d’un moteur 4 cylindres. Grâce au succès de celui-ci, il sort les modèles P2 et P3, qui eux, auront un succès moindre. Après la construction d’une deuxième usine à Gennevilliers et le lancement d’une nouvelle gamme, avec des moteurs Chapuis-Dornier, la société fut restructurée en 1927 et devient Benova.
Benova se lança dans la construction autoboule en 1921 avec la production de cyclecars. La production d’un modèle avec moteur bicylindre 2 temps de 6CV se révèle un fiasco coûteux. Après la liquidation, le repreneur relança la production sous le nom de BENOVA avec la production d’un modèle 8 cylindres et, avec un moteur CHAPUIS-DORNIER. Un deuxième fiasco envoya l’entreprise à sa perte puisque le modèle ne fut pratiquement pas vendu ; nous sommes en 1929.

BERLIET VH – 1922
Berliet est un constructeur automobile français, fondé par Marius Berliet (1866-1949) en 1901. C’est à l’origine un constructeur spécialisé dans l’automobile, et plus particulièrement l’automobile de luxe, jusqu’en 1939. C’est essentiellement son activité dans le domaine des poids lourds qui subsiste à partir de 1946.
1908 est l’apparition des premiers véhicules inspirés des véhicules Mercedès en 1919. La construction d’un type unique V8 15CV à la façon américaine, se révèle une erreur. En 1933, ces grosses voitures étaient baptisées « Bourgeoises ». Les modèles subiront des évolutions techniques, châssis surbaissé, roues indépendantes, calendre inclinée. L’ultime modèle utlise la caisse Peugeot 402 mariée à un capot classique et une grille façon « Buick ». Les derniers modèles sortiront en 1932.
BUICK 8 64 SPORT ROADSTER  
CHARRONNETTE – 1922
CHENARD & WALCKER  – 1928
La famille CHENARD était de Pithiviers dans le Loiret.  
Ernest CHENARD fut associé  à  Henry WALCKER.
C
‘est le 19 janvier 1899 qu’est né l’association entre les deux hommes.
L’usine était située à GENNEVILLIERS.
Fin de la production 1936.
CHENARD & WALCKER – Type Y9C – 1930  
CHENARD & WALCKER Aigle 4 – Moteur T11 – 1935  
CHENARD & WALCKER Aigle 22 – 1936
CHENARD & WALCKER F23 – 1939
Marque fondée en 1900 qui produit des voitures légères utilisant des techniques originales comme le pont arrière avec réducteur.
La compétition fait remarquer ses voitures notamment aux 24H du Mans en 1923. En 1934, la firme lance un modèle « Super Aigle » qui neremporte aucun succès. De ce fait, il a fallu se fournir en matériel chez d’autres fournisseurs connus : les moteurs chez Ford et Citroën, les caisses chez Chausson comme d’ailleurs Matford. La construction fut définitivement abandonnée en 1949.
CHEVROLET TORPEDO 6 CYLINDRES – 1931
CHRYSLER SIX CABRIOLET – 1936  
CITROËN B2 – 1922
La Citroën B2 est le second modèle d’automobile du constructeur Citroën construit par André Citroën entre mai 1921 et juillet 1926.
Ce sont les caisses de Citroën B2 qui servirent de base aux autochenilles de la traversée du Sahara en 1922 et de la croisière noire entre 1924 et 1925.
 
CITROËN 5 CV TYPE C – 1922  
CITROËN 5 HP TORPEDO – 1923
La première couleur dans laquelle la Citroën 5 HP est proposée est le jaune, ce qui lui vaut le premier surnom de :
« petite citron ».
CITROËN 5 CV HP – 1923
La Citroën Type C, parfois connue également sous le nom de Citroën 5 HP, est le second modèle d’automobile conçu par André Citroën, et commercialisé par Citroën entre 1922 et 1926. Elle est par ailleurs la première voiture fabriquée en grand nombre.
CITROËN 5 HP TORPEDO 2 PLACES – 1923
Suite à des désaccords fréquents entre Bizet et Salomon, ce dernier rencontre André Citroën qui lui demandera l’étude d’une petite voiture.
La paternité de la 5 HP appartient à Edmond Roger.
Jules Salomon apporte sa touche de ressemblance avec son modèle « le Zèbre » ; ainsi est née la 5 HP présentée au Salon de 1921.
CITROËN 5 HP COUPÉ DOCTEUR – 1923
La production en série de la 5 HP commence officiellement en mars 1922, dans une usine située à Levallois.
Moteur 856 cm3, 11 ch. Vitesse maximale : 60 km/h.
Contrairement aux voitures actuelles, l’accélérateur est situé entre l’embrayage et le frein.
CITROËN 5 HP – 1924  
CITROËN COUPÉ DOCTEUR – 1925
Dès l’automne 1925 le cabriolet est équipé d’ailes emboutées (dites « rondes ») et d’un nouveau pont arrère (oval).
 
CITROËN B2 – 1924
La Citroën B2 est un 3e modèle d’automobile du constructeur Citroën construite par André Citroën entre mai 1921 et juillet 1926.
En juin 1921, la Citroën B2 remplace la Citroën Type A. Elle est dotée d’un moteur plus puissant de 4 cylindres, 1452 cm3, 20 CV pour 72 km/h pour une consommation de 8 l d’essence au 100 km et d’une boîte 3 vitesses. Elle se fait rapidement une réputation de robustesse et d’économie.
Puisssance : 5 CV Vitesse : 50 km/h
CITROËN 5 HP – 1924
Ce fut le plus grand succès commercial des années 20 qui s’arrête en pleine gloire. Il faudra attendre la 2 CV pour retrouver un tel engagement.
Ce type de véhicule est le travail de Jules Salomon, qu’André Citroën avait embauché suite à un conflit avec Jacques Bizet, le fabricant de la marque Zèbre.
Le premier modèle de la 5 CV avec son arrière pointu fut présenté au salon de 1921.
Le succès ne se démentira pas, puisque jusqu’en 1924, il sera construit 83 132 véhicules de ce type avec une multitude de modèles.
Les appellations en HP « Horse Power » qui était un mode de calcul de puissance disparaîtra en 1925, pour adopter un type de calcul en « chevaux » comme toute l’industrie automobile mondiale.
Cette petite voiture, à la fois fonctionnelle puisqu’elle fut la voiture du notaire, du docteur, du maire et du curé, était aussi une excellente voyageuse et, parcourait allègrement les routes de France.
CITROËN 5 HP – 1924  
CITROËN 5 HP – 1924
Malgré la demande, André Citroën décide d’arrêter la production le 4 mars 1926 pour préparer la naissance de la B14.
La firme misait sur la fabrication du nouveau modèle à plus de 300 000 exemplaires/an, ce qui nécessitait de gros moyens financiers et des aménagements techniques de fabrication importants d’où l’arrêt de la 5 HP en pleine gloire.
CITROËN 5 HP – 1924
CITROËN 5 HP – 1924
CITROËN B2 – 1925
En 1923, les nouveautés Citroën sont peu nombreuses.
La 5HP type C deviendra  type B2 en recevant un châssis renforcé.
On reconnaît la B2 avec son capot 16 fentes en s’enrichissant de 3 modèles : la Caddy sorte de cabriolet 2 places, fabriquée seulement à 100 exemplaires, la conduite intérieure 4 places et la Normande. Cette dernière n’est pas une invention Citroën mais de la Licorne destinée à servir d’utilitaire.
Le B2 conduite intérieure fut la première Berline Citroën. Sa version Torpedo fut le modèle le plus apprécié.
CITROËN 5 HP – 1925
Plus connu sous le nom de « Trèfle » parce que, au lieu d’avoir des sièges décallés modulables, c’est à partir de 1925, que les trois places seront fixées et disposées en ‘Trèfle ».
Le mot « Trèfle » devrait être employé que pour ces modèles et non pour désigner n’importe quels modèles de carrosseries.
CITROËN 5 HP TRÈFLE – 1925
Production de janvier à décembre 1925 : 30 432 voitures.
Tarif en 1925 : 11 800 à 14 000 francs.
Particularités :
-frein principal au pied agissant sur un tambour en sortie de boîte de vitesses
-frein secondaire à main agissant sur les tambours de roues arrière
-pas de frein à l’avant.
CITROËN B2 TORPÉDO – 1925
CITROËN B12 TORPÉDO – 1925  
CITROËN B15 GRAND HOTEL 10 CV –  1925
L’avenuture Citroën débute en 1919 même si André Citroën doit faire face à de multiples problèmes dus à la fabrication d’obus, bien différente des automobiles.
C’est donc le type A qui deviendra la pionnière de la firme Citroën, puis suivra la B2 en 1924, la B12 en 1926, la B14 en 1927 et la B15 qui sera un petit utilitaire qui reprendra la partie avant de la B14. Le châssis sera renforcé et autorisera une charge d’ 1 tonne.
Le confort reste celui de la berline. C’est pourquoi le modèle est très apprécié. C’est sans doute la raison de son choix pour servir le Grand Hôtel, Etablissement Parisien de référence depuis son ouverture en 1862, situé face à l’opéra Garnier et qui permet de profiter du mondialement connu célèbre « Café de Parisé.
Le taxi a plusieurs vocations, dont l’une est le service d’hôtel très pratique pour emmener les clients et leurs bagages à la gare et bientôt à l’aérodrome le plus proche.
12500 Exemplaires sont sortis des usines Citroën entre 1926 et 1927.
CITROËN C3 Cabriolet – 1925  
CITROËN B12 – 1926  
CITROËN B12 TORPEDO – 1926
La Citroen B12 est une automobile fabriquée par Citroën d’octobre 1925 à janvier 1927.
La B12 remplace la Citroën B2, dont un des principaux défauts était l’absence de freins avant.
CITROËN B14 Faux cabriolet – 1927  
CITROËN B14G type BOULANGÈRE – 1927
Citroën B14 « Boulangère » de 1927 (cylindrée 1538 cm3, 22 CV réels, 80 km/h)
Les carrosseries dites « Boulangère » correspondent le plus souvent à des fourgons dont les parties hautes des parois latérales et arrière sont fermées par des rideaux à rouler. Ce type de véhicule était notamment destiné au commerce ambulant.
CITROËN B18 – 1927  
CITROËN AC4 – 1928
Conduite intérieure, 6 glaces, 4 places luxe
 
CITROËN C4  – 1928
Conduite intérieure, 4 places, luxe
 
CITROËN B14 TORPEDO – 1928
Moteur 4 cylindres en ligne à soupapes latérales,1 583cm3 70 x 100mm ,22 Ch. à 2 300 t/min, 9 CV.,Carburateur solex 26 HBFG, 8,5 l/100 km,Alésage70 mm,Course 100mm , Transmission aux roues arrières par l’intermédiaire d’une Boîte à 3 vitesses, 1ere non synchro, 1 AR, Freins à tambours à câbles avant et arrière, Suspension à lames , avec des amortisseurs. Dimensions : Longueur 4.24 m, largeur 1.62 m, Empattement 2.87m Vitesse 80 km/h.
CITROËN B14 – 1928
La B14 « Tout Acier » est présentée au Salon d’octobre 1926. Elle représente un progrès technique décisif par rapport à la B12.
Le châssis est allégé, le moteur est plus souple et le frein au pied agit maintenant sur les quatre roues.
CITROËN B14 CABRIOLET 2+2 – 1928
La B14 a été fabriquée de Septembre 1926 à Septembre 1928, soit seulement 2 ans.
La B14 Cabriolet à été fabriqué en peut d’exemplaires :
Cabriolet 2 places sous capote :  2
Cabriolet 4 places sous capote :  6
Faux-cabriolet 2 places             :  4 ou +
Faux-cabriolet 4 places             :  5 ou +  
CITROËN B14 G – 1928
Au Salon 1927 apparaît le modèle B14G  Production 127 600 exemplaires
moteur à 4 cylindres en ligne, 1 539 centimètres cube avec alésage – course de 70×100 millimètres donnant 22 chevaux réels à 2 300 tours par minute.
Les soupapes sont latérales et le refroidissement à eau sans pompe.
Allumage à avance fixe par magnéto ou voltex et batterie 6 V-60 A/h.
Carburateur Solex 26HBFG – 26GHF (B14) ou 26BFHG (B14F & B14G).
Boîte à 3 vitesses non synchronisées et freins à tambours à commande mécanique avec servo(B14F & B14G). Vitesse maxi 80 km/H.
Pneu 13×45 Michelin Superconfort.
CITROËN B14 G berline – 1928
CITROËN B14 TORPEDO – 1929  
CITROËN AC4  MARAICHÈRE – 1929
C’est le Salon de 1928 qui marquera une étape importante pour la présentation de la C4.
Elle va par rapport à la B14 bénéficier d’améliorations techniques.
Sa carrossrie va utiliser des emboutis lui donnant une silhouette différente.
Le moteur passe de 1538 cm3 à 1628 cm3. Le refroidissement ne s’opéra plus par thermosyphon, mais à l’aide d’une pompe à eau ; il n’y a plus de magneto, mais un distributeur vite dénommé « Delco ».
CITROËN AC4 FAMILIALE 6 PLACES – 1929
Dans l’euphorie économique des années1926-1927, ANDRE CITROEN monte en gamme pour le salon de l’auto1928, avec deux modèles moyens, confortables et fiables, capables de mordre sur le segment de luxe : les AC 4 et AC 6 année 1929.L’AC4 va se décomposer en un grand nombre de modèles.
La Berline luxe, la conduite intérieure luxe, la familiale luxe, le cabriolet décapotable 2 &t 4 places, le faux cabriolet 2 & 4 places, le torpedo, le familiale, le commercial et, le landaulet désigné comme taxi décapotable.
CITROËN C4 – 1929
CITROËN C4 TORPÉDO – 1930
CITROËN C4 Plateau bois – 1930
CITROËN AC4 F Landolet – 1930
CITROËN C4F -1930
Le salon de 1930 présente la C4F.
Différents aménagements le composent : l’empatement est de 278 contre 285, le châssis long reste, la voie passe de 132 à 134 cm, les roues sont à 5 écrous au lieu de 4, son châssis long lui permet de loger 6 places.
CITROËN AC4 – 1930
Citroën mettra en circulation à Paris début 1931, le taxi Landaulet aux couleurs marron et orange sur les 20 000 taxis parisiens.
En 1933, 12 000 sont des C4 de la société des taxis Citroën aux cötés des G7.
CITROËN C4 – 1930
CITROËN C4 CABRIOLET  4 PLACES – 1930
Le cabriolet décapotable permet de circuler par tous les temps avec le même agrément. C’était la voiture préférée des femmes. Le cabriolet possède un coffre arrière comme un spider.
A ce jour, il resterait seulement 4 cabriolets de ce type encore en circulation en France dont celui-ci. Mais, peut-être existe-t-il également dans le font d’une grange totalement abandonnée !!! Dommage…
CITROËN C6 COACH – 1930
CITROËN C4 F -1931
La C4 est présentée au Salon d’octobre 1928. Par rapport à la B14 dont les caractéristiques la présentaient comme un modèle assez moderne, la C4 met en œuvre des solutions encore plus novatrices par rapport à la concurrence. Tout en utilisant le même outillage de fabrication à la chaîne de la B14, sa silhouette était modernisée, plus basse.
Le thermomètre d’une C4, situé au-dessus de l’emblème à chevrons de la marque Citroën
La nouveauté concerne le moteur dont la puissance s’accroît de 40% en tournant à 3 000 tr/min : les cylindres sont maintenant coulés d’un seul bloc et le refroidissement à eau se fait à l’aide d’une pompe. L’allumage est lui-aussi rénové grâce à un distributeur Delco-Rémy. La boîte de vitesses est en fonte et non plus en aluminium et le châssis est raidi par des longerons entretoisés. La C4 dépasse ainsi les 90 km/h.
La C4 est contemporaine de la C6 qui en est le haut de gamme. Elle devient C4 III au salon d’octobre 1929 et reçoit alors des améliorations dont a bénéficié la C6 : pistons longs, joints de cardan, etc. Puis, elle devient C4F au Salon de 1930, et C4G au Salon de 1931.
Enfin, sept autochenilles C4F équipées du système Kégresse ont constitué le groupe « Pamir » de la Croisière jaune d’avril 1931 à mars 1932
La C4 et la C6 ont servi à Michelin comme nez pour les prototypes des Michelines.
CITROËN  C4 G 11 CV PLATEAU – 1932
CITROËN C4G MFP – 1932
Citroën lance en 1931, une version luxueuse avec des mofications extérieures esthétiques.
C’est ainsi que cette C4G MFP de juillet 1932 fut la première à être équipée de la calandre thermostatique et des capots à volets, ainsi que du premier moteur 10 CV flottant, révolutionnant le confort des voitures.
Le symbole est un cygne voguant entre deux chevrons.
Ce modèle est équipé de jantes à rayons destiné à l’exportation et, notamment, vers l’Angleterre.
La fabrication des C4 est arrêtée en septembre 1932, laissant la place au Rosalie, elles-mêmes équipées de moteurs flottants.

SOUS LE « CYGNE » DU PROGRES

Dans le sillage de la Type A, Citroën n’arrête pas d’apporter des vitamines à haute dose à l’automobile, en commercialisant la petite  « citron » (5 CV) puis la série des modèles B à moteur 4 cylindres ; le premier moteur 6 cylindres étant commercialisé sur les modèles C. En 1932, apparaît sur les Rosalie un mécanisme qui révolutionne le confort des voitures de tourisme ; dispositif qui est aujourd’hui unanimement adopté dans le monde entier.
Désigné moteur flottant, celui-ci a été mis au point par des ingénieurs américains d’après des travaux menés par des chercheurs français. Il s’agit de désoldariser le moteur du châssis par des points d’attaches souples et de le suspendre selon des axes particuliers dont l’un passe par son centre de gravité. Les vibrations du moteur, ne sont ainsi plus transmises au châssis et au reste de la voiture. Conquis, par le confort qu’apporte cette invention, André Citroën en achète la licence exclusive pour l’Europe. Le symbole en est un signe voguant entre deux chevrons.
CITROËN C4G  – 1932  
CITROËN ROSALIE 8 A – 1933  
CITROËN ROSALIE 10 A – 1933
Mécaniquement, la 10 cv remplace la C4. Citroen se contente pour cela de quelques modifications (régime moteur et réglages ).
Les moteurs sont bien sur flottants ( symbolisés par le célèbre cygne ) et les caisses sont équipées de sièges pullmans
CITROËN ROSALIE – 1934
CITROËN ROSALIE – 1934  
CITROËN ROSALIE – 1934  
CITROËN ROSALIE – 1935
André Citroën profite du salon de 1932 pour renouveler complètement sa gamme avec la poursuite de l’installation des moteurs flottants.
Donc des nouvelles familles voient le jour – la 8, la 10 & la 15 CV.-
Ces voitures seront assez vite surnommées « Les Rosalies » à la suite des reccords retentissants battus par l’une d’entre elles à Monthléry sous le nom précisément de « Letite Rosalie ».
CITROËN ROSALIE 15 CV – 1935
Mécaniquement, la 15 cv remplace la C6. Les carrosseries sont plus modernes que les C4 et les C6 qui avaient rapidement vieillies : des ailes longues, une calandre haute et chromée, un capot haut et un pare-brise étroit ,légèrement incliné, des lignes arrondies et beaucoup plus fuyantes, donnent bonne d’allure à ces sympathiques autos
CITROËN ROSALIE 10 TORPEDO – 1935
La cylindrée des 8 est de 1452 cm3, celle des 10 de 1767 cm3.
Les 10 auront les mêmes caractéristiques que les 8. Elles vont cependant recevoir la calandre à chevrons. Au début, elles auront des pare-chocs bi-lames et, fin 32, elles n’auront plus qu’une lame.
Le modèle torpedo dont il reste seulement quelques exemplaires, remplaça également la C6 torpedo.
CITROËN ROSALIE 7UA – 1935
Au départ Rosalie faisait référence à un modèle « de course » de 8 CV qui a établi une série de records sur l’anneau de Monthléry.
Le modèle fut commercialisé sous différentes dénominations et puissances :
8 CV, 10 CV (des 4 cylindres), et 15 CV (une 6 cylindres)
7 et 11 Mi (à moteur culbuté) dérivés des 7 et 11 CV à traction avant.
CITROËN ROSALIE 7UA (9 CV)  – 1935
CITROËN ROSALIE – 1935  
CITROËN ROSALIE 8 Boulangère – 1935  
CITROËN ROSALIE – 1936
CITROËN ROSALIE – 1936  
CITROËN ROSALIE – 1937
CITROËN TRACTION 11 LEGÈRE – 1937
La Citroën Traction Avant est une automobile produite par le constructeur français Citroën de 1934 à 1957.
La Traction est réellement devenue fiable et mature à partir des modèles 1936. Mais les déboires des débuts auront raison de l’ancienne société Citroën qui déposa le bilan et fut reprise par la famille Michelin avec le succès que l’on connaît.
CITROËN TRACTION 7 – 9 CV – 1938  
CITROËN TRACTION 11 B légère – 1938
CITROËN TRACTION 9 CV – 1938  
CITROËN TRACTION 11 B – 1939
DARMONT ÉTOILE DE FRANCE – 1932
DARMONT AÉROLUXE – 1934
C’est au début des années 20 que les Morgan furent importés, puis construits sous licence Darmont à Courbevoie. Par la suite, Roger Darmont construisit ses propres véhicules très inspirés des Morgan. Leurs rapport poids puissance leur permis de s’illustrer dans de nombreuses épreuves tel que les courses de côtes ou autres kilomètres lancés, comme à Arpajon en 1925 ou le record de vitesse est battu à 166,390 Km/h. Le Darmont Etoile de France apparait en 1932 équipé d’un moteur latéral 980 cmc refroidi par air. Les tricyclecars évoluent et le bicylindre se retrouve sous le capot avec le modèle Aéroluxe en 1934, transition chez Darmont entre le 3 roues et le 4 roues V Junior . La marque s’éteint à l’aube de la seconde guerre.
DE DION-BOUTON IS NORMANDE – 1924
DE DION-BOUTON IT – 1926 
De Dion apporte les finances, Bouton la technique. Ce fut les pionniers français qui, passaient au stade de la production industrielle très rapidement.
Nous sommes dans les années 1900 et plus de 100 véhicules étaient produits par mois. La multiplication des modèles et conservation des anciens conduisent l’entreprise à une stagnation car les innovations techniques étaient trop rares. Les derniers modèles datent de 1931.
DE DION-BOUTON IW – 1925
DE DION-BOUTON  IW – 1927
DELAGE Type DE (10cv) – 1922
DELAGE D8 – 1931 
Les premières Delage datent de 1905. C’étaient des petites « mono » équipées de moteur DE DION. Les modèles devinrent de plus en plus élégants voire luxueux avec des 6 et 8 cylindres « en ligne ».
La marque fut reprise en 1935 pour DELAHAYE et s’arrêta en 1954.
– Delage a exercé à Courbevoie dans les Hauts de Seine de 1904 à 1954 et fut racheté en 1935 par Delahaye
– D8 de 1931 –  Berline  sur châssis long. 8 cylindres en ligne culbuté de 4061 cm3 et 105cv à 3500 tr/mn,  boite 4 vitesses, sevofrein Dewandre-Repusseau, poids 2800kg, vitesse 120 km/h.
– La D8 (1929-1932) représente l’apogée de Delage avant la crise pour rivaliser avec Hispano Suiza, Rolls Royce, …, dans les concours d’élégance très en vogue à l’époque. Les D8 étaient souvent présentées par des artistes (Joséphine Baker, Mistinguet..) et représentaient le luxe français apprécié des femme.
DELAHAYE 107 MAGNESIUS – 1929
Pionnier de l’automobile depuis 1895, Delahaye était un constructeur français d’automobiles de luxe, de poids lourds et de véhicules d’incendie.
La firme reprit Delage en 1935 puis disparut en 1954 rachetée par Hotchkiss.
DELAUGÈRE & CLAYETTE  TYPE V – 1921
Delaugère et Clayette
était une marque française d’hippomobile et d’automobile, basée à Orléans.
Delaugère est une marque de carrosserie hippomobile puis automobile, créée en 1864 à Orléans par Jean-Pierre Delaugère, reprise à sa mort en 1868 par Emile et Henri, ses deux fils.
En 1898 la marque sort sa première voiturette (véhicule à trois roues propulsé par un moteur de 474 cm3). En 1906, la marque s’associe avec les frères Clayette (de Meung-sur-Loire) et devient « Delaugère et Clayette », pour faire les premiers moteurs. La marque devient très vite réputée pour ses voitures parmi les plus luxueuses et les plus chères d’Europe (qui pouvaient atteindre facilement les 500 000 km). Son capital est alors supérieur à celui de Renault et des frères Peugeot.
Deux voitures par jour sont produites par 350 ouvriers.
En 1934, à la mort de Félix Delaugère, le fils d’Henri, l’entreprise est reprise par Panhard.
Le logotype de la marque représsente Jeanne d’Arc équestre.
DELAUGÈRE & CLAYETTE TORPEDO TYPE V – 1923
Pour plus d’ informations  sur la marque  vous rendre sur le site  http://pasdelaugere.cabanova.fr
DELAUGÈRE & CLAYETTE W12 HP – 1924
(Olivet)
DELAUGÈRE & CLAYETTE W12 HP – 1924
(Saint Hilaire)
FORD A ROADSTER – 1929
Le modèle A a été la première Ford à utiliser l’ensemble standard de commandes du conducteur avec embrayage classique et la pédale de frein; accélérateur et levier de vitesse.
Le réservoir de carburant Modèle A était situé dans le capot, pare-feu entre le compartiment moteur et le tableau de bord. Il a une jauge de carburant visuelle, et le carburant vers le carburateur coulé par gravité. Un rétroviseur était facultatif.
FORD AF 40 – 1929
FORD AN 180 – 1930
FORD B ROADSTER – 1932
Le modèle B est une automobile Ford à la production à partir de l’année-modèle 1932 et se terminant par 1934
C’était une version beaucoup plus mise à jour du modèle A et a été remplacé par le modèle 1935 Ford 48 . Strictement parlant, le modèle B est une voiture à quatre cylindres avec une version améliorée du moteur utilisé dans le modèle A. 
FORD V8- 40  CABRIOLET – 1934
FORD V8 de Luxe  CABRIOLET – 1940  
GEORGES IRAT ROADSTER – 1938
La devise de cette marque « la voiture de l’élite » qui se résume en 3 époques :
-la 1ère avec le 2 & 4 cylindres des années 20,
-la 2ème avec les confidentielles 6 & 8 cylindres,
-la 3ème les petites sportives à traction avant équipées de moteurs Ruby puis Citroën. 
La marque a cessé en 1939.
HOTCHKISS AM  – 1924
Au Salon de Paris 1922, Hotchkiss lança l’AM 12 HP et adopta le slogan « la voiture du juste milieu ». En fait, la marque ralliait les suffrages d’une clientèle bourgeoise aisée qui recherchait le confort et la discrétion.
HOTCHKISS 411 CABOUR  – 1933  
JAGUAR SS2 FAUX CABRIOLET 1934
L’histoire de Jaquar débute en 1920 lorsque William Lyons fabrique des side cars sous le nom de « Swallow » (Hirondelle)
En 1927, il donne son premier coup de griffe dans le luxe sur un châssis d’Austin et en 1931, la fourniture par Standard des châssis et mécaniques donne des « Standad Swallow » avec les SS1 6cyl & SS2 4cyl. puis vinrent des SS90 et sublimes SS100 pour 100 Miles / hour. Aprés la guerre, le sigle SS devenu peu commerciable fût remplacé par un Jaguar.
SS2 faux cabriolet de 1934 à toit ouvrant, 4 cylindres latéral de 1600 cm3 et culasse aluminuim Weslake à 2 SU de 38 cv à 4000.
LA BUIRE TYPE A1 – 1925  
LANCIA ARDENNES – 1939
La Lancia Ardennes était l’Aprilia italienne construite sous licence en France à Bonneuil sur Marne. Des 36 cabriolets réalisés par le carossier Marcel POURTOUT de Rueil-Malmaison sur une plateforme spécifique car la berline était monocoque, trois subsistent à ce jour. Sortie en juin 1937, la production s’arréte fin 1938, suite aux ruptures diplomatiques avec l’Italie qui s’était raliée à Hitler.
Reconnue comme l’un des « 3 chefs d’oeuvres » de Lancia (Lambda, Aprilia et Aurélia), techniquement très sophistiquée et en avance sur son temps, c’est la seule voiture qui fût bridée après son test d’usine, Vicenzo Lancia la jugeant trop performante pour le conducteur lambda et les routes de l’époque.
Monocoque ou plateforme caisson, 4 cylindre en V étroit de 1350 cm3, 1 ACT et culasse hémisphèrique, 47 cv à 4300 tr/mn, 125 kmh et 9 litres/100, pont De Dion avec suspension à 4 roues indépendantes, amortisseurs et freins hydrauliques pour 900 kg.
Pourtout, associé au designer Paulin est surtout connu en France pour la réalisation des raodsters 402 Peugeot  « Darlmat » et des découvrables « Eclipse » .
LICORNE H02 – 1930
Souvent affiché sur les blasons, cet animal servit de marque à son créateur CORRE. Il s’agit de véhicules de bonne réputation carrossée avec élégance. A partir de 1935, certains organes mécaniques sont d’origine Citroën mais, avec les roues arrière motrices. Le dernier modèle, un petit coach  sortit après la guerre  ne suffira pas à sauver la marque qui disparaîtra en 1948.
LICORNE LR 163 – 1939
LUC COURT 12 HP – 1923  
LUC COURT TORPEDO – 1923
Luc Court, né le 23 août 1862 à Rives (Isère), mort en 1942, est un entrepreneur industriel et un inventeur.
En 1904, Luc Court invente un châssis démontable permettant de remplacer rapidement le châssis et la carrosserie d’un véhicule tout en conservant le même groupe motopropulseur placé à l’avant.
La marque, partisane notamment des roues élastiques, réalise en 1907 une voiture de 12 CV qui parcourt avec succès 12 000 km en étant montée sur des roues élastiques Jaboulay.
Luc-Court développe un véhicule équipé d’un moteur à 4 cylindres, d’une puissance de 20 CV et d’une cylindrée de 4 700 cm³ qui devient – avec la version 14 CV – le modèle le plus fabriqué de la marque.
Comme inventeur, il laisse alors à l’automobile un héritage technologique d’exception : la marche arrière, le châssis détachable, la boîte à cinq vitesses, les soupapes d’admission et d’échappement superposées et l’amélioration du moteur diesel
MATFORD ALSACE Cabriolet – 1937
En 1935, l’usine Mathis de Strasbourg construit les dernières voitures de la marque.
Ford va apporter une partie de sa technique pour la construction de certains modèles.
Matford est en définitive l’association de Mathis et Ford, qui va se terminer en 1939 avec l’occupation de l’Alsace, ce qui a donné le nom à un type de véhicules en mémoire certainement de cette occupation.
La construction ne reprendra pas après la guerre.
 
MATHIS MY TORPEDO – 1927
La «MY» est une 7 cv fiscaux. Ses 22 cv réels lui permettent une vitesse maximale de 70 à 80 km/h. Les premiers exemplaires datent de mars 1926 mais elle n’est commercialisé qu’à partir de l’été de la même année. Cette voiture se vendit bien jusqu’en 1930.
MATHIS TYPE MY – 1932
En 1918, les premiers Mathis sortis sont allemands et, fabriqués dans les usines en Alsace. En 1927, Mathis devient le 4ème constructeur après Citroën, Renault et Peugeot.
Après un projet avorté de montage aux USA, Emile Mathis se tourna vers Ford. Les derniers Mathis sortirent des usines de Strasbourg en 1936.
La marque fera place à MATFORD.
MERCEDES Type 200 Cabriolet – 1935  
PANHARD LEVASSOR X47 – 10CV – 1926
La marque reste la doyenne de la licence des moteurs Daimler déjà cliente en 1891. Au début du XXème siècle, il s’agissait de la première marque en production, en France, dépassant le millier d’unités par an.
Spécialiste des moteurs sous soupapes dès 1910 et, pratiquement jusqu’à la seconde guere mondiale. En 1945, Panhard fera toujours preuve d’originalité en construisant des véhicules bicylindres. La production allait de la berline familiale à la sportive. Avant 1964, s’éteignit la marque.
PANHARD  X 69 – 1933
6 Cylindres sans soupapes
PEUGEOT QUADRILETTE – 1923  
     
PEUGEOT 201 CABRIOLET  – 1929  
PEUGEOT 201 CABRIOLET  – 1930  
PEUGEOT 201 COUPÉ-SPIDER  – 1933  
PEUGEOT 201 COACH  – 1935  
PEUGEOT 301 CR – 1934
Les Peugeot 301 étaient fabriquées à Sochaux et étaient les premiers modèles à être équipés de suspensions à l’avant à roues indépendantes.La tenue de route en était nettement améliorée et le volant ne vibrait plus.
PEUGEOT 301 CR – 1934
PEUGEOT 301 – 1934
PEUGEOT 301 CR – 1934
PEUGEOT 401D – 1935
La Peugeot 401 est une automobile de la marque Peugeot produite de 1934 à 1935 concurrençant les Renault Primaquatre et la Vivaquatre.
Ce modèle, comme la 201 précuseur dans ce domaine, dispose de deux roues avant indépendantes (rapidement suivi par la concurrence) ce qui améliore nettement la tenue de route.
Le modèle Eclipse sorti en 1935 est la première automobile coupé cabriolet.
Motorisation 1720 cm³, 4 cylindres en ligne, 8 soupapes, puissance de 44 ch DIN, embrayage monodisque à sec, 3 vitesses et MA, Longueur 4,45 m, largeur 1,60 m, empattement 2,81 m, poids 1120 kg, vitesse maxi 100 km/h, refroidissement : liquide par pompe et radiateur.
PEUGEOT 201D – 1936Fabriquée à Sochaux entre juillet 1929 et septembre 1937, la 201 a été présentée au Salon de Paris en 1929, en plein krach de 1929 qui entraine le dépôt de bilan pour beaucoup de constructeurs automobiles concurrents. Archétype de la Peugeot des années 1930, elle a permis à l’entreprise de surmonter la crise des années 1930 et de gagner une image de marque de constructeur automobile important
La 201 a connu plusieurs variantes. Initialement, elle a été motorisée par un moteur de 1 122 cm³ développant 23 ch à 3 500 tr/min
(vitesse maximale : 80 km/h).
(1934) commercialisation de la 201 D : moteur SER2 1 307 cm3, 28 ch à 4 000 tr/min. Carrosserie 2 portes, dite queue de castor.
PEUGEOT 402 L – 1937La conception d’une nouvelle voiture, la 402, répond à deux besoins. Le premier est de remplacer les modèles vieillissant 401et la 601. Le deuxième est de faire face à une concurrence grandissante. En effet, Citroën vient tout juste de produire les premiers modèles deTraction Avant et Renault est bien établi sur le marché automobile avec ses modèles : la Vivaquatre et la Primaquatre. Le superviseur de la conception de la Peugeot 402 est les responsable du département Études Carrosseries, Henri Thomas.
Le châssis est de type Bloctube, très rigide, ayant déjà fait ses preuves sur de précédents modèles. 4 freins à tambours à câbles, des amortisseurs à leviers à double-effet et une direction à boîtier sont installés. Les suspensions utilisent un système de ressorts à lames transversales pour pouvoir utiliser des roues indépendantes. La boîte de vitesse offre 3 rapports, dont la 1ère synchronisée. Le moteur est un 4 cylindres culbuté de 1991 cm3 de 55 CH.
La 402 connaît un vif succès dû à son esthétique séduisante, à ses bonnes performances et à un silence de fonctionnement supérieur à la moyenne de l’époque  Après 5 années de vie, la production de la 402 s’arrête en 1940.
en raison de la Seconde Guerre mondiale. la Peugeot 402 ne survit pas et termine sa carrière en 1942.
PEUGEOT 202 B – 1939
La Peugeot 202 est une automobile de la marque Peugeot produite entre 1938 et 1949.
Oon distingue 3 modèles : 202 de janvier à novembre 1938 ;
202 B de 1938 à 1946 ; 202 BH de 1946 à 1949.
La 202 dont les deux projecteurs sont rapprochés derrière la calandre comme sur la 402 est une concurrente de la Renault Juvaquatre.
Mue par un moteur 4 cylindres en ligne, 3 paliers, 1 133 cm³, d’une puissance modeste de 30 ch (6 CV) mais avec son aérodynamisme, elle atteint 100 km/h en vitesse de pointe.
Freins à tambour sur les 4 roues commandés par câbles.
PLYMOUTH TYPE Q – 1929
En décembre 1620, les premiers colons « les Pilgrim Fathers » débarquaient du Magflorwer et, fondaient le village de Plymouth. Ce fut ce nom que Chrysler choisit pour cette gamme économique à 4 cylindres présentée en juillet 1928 qui connut un grand succès.
La millionienne Plymouth sortant 5 ans plus tard.
A l’exportation, elles étaient désignées sour le nom de « Chrysler Junior ».
RENAULT KZ – 1923
La nouvelle Renault DZ fait son apparition en 1923 avec un nouveau capot dit « coupe-vent ».
Cependant le radiateur reste encore derrière la mécanique tel qu’il avait été conçu en 1904 ;  alors que Citroën a des carrosseries tout en acier, la marque conserve une technique  avec carcasse en bois et tôle enboutie. Ce sera le cas jusqu’à la Juvaquatre en 1938. Le modèle sera fabriqué jusqu’en 1936. Son profilage « coupe-vent » sera remarqué pour son aérodynamisme.
RENAULT NN TORPEDO  6 CV – 1924
Pour concurrencer la 5 HP, Renault lance une « petite » voiture, une 6 CV d’abord née sous le type KJ avant de devenir, en 1924 et sur un châssis légèrement rallongé, la célèbre NN. Sa version torpédo commercial est modulaire grâce à sa banquette AR amovible. Utilitaire la semaine, il peut ainsi se transformer aisément en voiture familiale le week-end. Elle sera la Renault la plus vendue de 1924 à 1929. Elle disparaîtra pourtant, sans être remplacée, mais après avoir subi une cure d’engraissement qui pénalisait sa mécanique.
RENAULT NN  TORPEDO – 1925
RENAULT NN – 1926
Les NN1 et les NN2 ont été construites sur des châssis plus longs acceptant 4 places pour concurrencer les 5 HP Citroën.
D’ailleurs, le prix du Torpedon était inférieur à sa concurrente la 5CV. La NN2 était plus large mais plus lourde. Elle survivra jusqu’en 1929.
Le gros avantage des NN était l’accessibilité indéniable à toutes les pièces du moteur, le capot une fois levé.
  RENAULT NN2 – 1929
La NN est pratiquement identique à celle de 1928. Elle aborde sa dernière année d’existence.
Moteur 4 cylindres 950 cm3
Alésage, course : 58 x 90 m
Puissance nominale : 6 CV
Longueur 3,70 m – Largeur 1,45 m – Empattement 2.65 m
Poids 1 100 kg – Vitesse 65 km/h
RENAULT KZ 4 – 1930
RENAULT MONASIX RY2 – 1930
La Monasix RY2 est sortie d’octobre 1929 au 19 mars 1931, avec 23119 unités.
Moteur 6 cylindres, de 1476 cm3
Poids à vide de 1350 kg
Vitesse maxi 80 km/h.
12 l au cent kilomètres.
RENAULT Type TG-1 NERVASTELLA – 1931
Véhicule version luxe reconnaissable à son capot muni d’ouïes latérales de refroidissement.
Ce modèle possède quelques trophées non négligeable à son palmarès avec notamment celui du Grand prix du Maroc de 1931.
Moteur : 8 cylindres en ligne, 16 soupapes, 100 chevaux
Cylindrée : 4240 cm3
Puissance : 24 CV
Longueur : 4,80 m
Empattement : 3,35 m
Poids : 2300 kg
Vitesse : 125 km/h
RENAULT PRIMAQUATRE – 1932  
RENAULT PRIMAQUATRE – 1932  
RENAULT VIVAQUATRE – 1932  
RENAULT VIVASTELLA – 1932
Comme bon nombre de ces concurrents , Renault au début des années 30, se maintient pour les véhicules de haut de gamme animés de mécanique 6 cylindres, destinés à une clientèle huppée.
RENAULT KZ 11 (TAXI G7) – 1933
La Renault KZ est une automobile de la marque Renault produite de 1923 à 1933.
Le taxi KZ11 est une série spéciale de 2 400 véhicules, dont 1 878 livrés à la compagnie des taxis G7 en 1933 à Paris. Il avait des caractéristiques adaptées à cet usage professionnel : une vitre isolait le chauffeur des passagers et une vaste soute à bagages était disposée à sa droite. La banquette à trois places était complétée par deux strapontins dos à la route. Le toit était décapotable et la livrée rouge et noir. L’immatriculation des véhicules était toujours terminée par G7.
Moteur à essence, 4 cylindres, 2 120 cm3 ; 35 ch (26 kW) à 2 900 tr/min
Longueur : 4,30 m ; largeur : 1,77 m ; hauteur : 1,71m
RENAULT MONAQUATRE – 1933
Firme fondée en 1899 par Louis Renault. Il s’agissait d’une affaire familiale qui en 1918 était considérée comme la plus grande industrie automobile capable de fabriquer des voitures, des blindés, des autocars et des moteurs d’avion.
La marque fabrique une gamme complète maintenant de véhicules de tourisme et d’automobiles sportives.
RENAULT VIVAQUATRE – 1934
RENAULT VIVAQUATRE – 1934  
RENAULT MONA PLATEAU – 1934
RENAULT VIVA CABRIOLET – 1934  
RENAULT MONAQUATRE NY4 – 1935
RENAULT CELTA 4 CABRIOLET – 1935  
RENAULT CELTAQUATRE BAJ – 1938
La Celtaquatre perd ses rondeurs et prend une forme plus aérodynamique. Apparition de deux nouveaux types de carrosserie : un cabriolet et un coach.
Elle reçoit une calandre en V d’inspiration américaine, que l’on retrouvera sur toute la gamme.Apparition du pare-chocs à lames droites.
En 1939 la Celtaquatre laisse la place à la Juvaquatre.
RENAULT JUVAQUATRE – 1939
Pour épauler la 8 CV Celtaquatre, qui est alors la moins chère des Renault, la marque présente pour la première fois au Salon de Paris 1937, la Juvaquatre. A l’heure du Front populaire, les français viennent d’obtenir leurs premiers congés payés. Familles et travailleurs aspirent à l’évasion…La Juvaquatre est une automobile fabriquée par Renault de 1937 à 1960. Elle est la première Renault à carrosserie monocoque (pas de châssis séparé) et à roues avant indépendantes,la suspension avant par ressort à lames transversal et amortisseurs hydrauliques à levier formant triangles supérieur.Boîte 3 vitesses plus une marche arrière.
Consommation : environ 7 litres aux 100 km;Vitesse : environ 100 km/h; Puissance : de 21 à 26 ch SAE ;Freins : à câbles puis hydrauliques à partir de 1940.
C’est la seule voiture de la marque conçue du temps de Louis Renault dont la production a été poursuivie par la Régie Nationale des Usines Renault.
ROLLS-ROYCE – 1935
Fredéric Henry Royce (1863-1933) était un mécanicien autodidacte qui décida de perfectionner sa propre voiture avec De Dion Bouton considérant qu’elle pataradait de trop et fumait………
Il fut remarquer par Charles Stewart Rolls, un aristocrate fortuné dont le choix fut de fabriquer des voitures de très grand luxe.
C’est en 1907 que sortit le premier véhicule qui entama une carrière prestigieuse de la marque à tous les niveaux.
La firme est aujourd’hui propriété de BMW.
ROSENGART LR62 – 1932
Lucien Rosengart prit la licence de Austin Seven pour se lancer sur le marché en 1928. Il élargira sa gamme avec des modules d’origine d’ADLER. La marque s’arrêta en 1953. Ces produits n’étaient plus adaptés au marché.
ROSENGART LR4 Coupé-spider – 1934
ROSENGART LR49 – 1934
SALMSON VAL 3 – 1923  
SALMSON S4C Faux-Cabriolet – 1933
Salmson S4C faux-cabriolet, n° 56 123, sortie le 27/12/1933, type carrosserie M48, N° 77 dans la série.
Entièrement restaurée (bois, carrosserie, mécanique) entre 1996 et 2001.
La S4C possède un moteur 4 cyl. de 1500 cm3, double arbres à cames en tête, accouplé à une boîte mécanique 4 vitesses.
Vitesse de pointe : 105 km/h
La S4C a été également construite en Angleterre par la British Salmson Aero Engines Ltd., sous l’appellation « 12/50 », ou « 12/70 » pour une version un peu plus sportive aux capot et radiateur plus bas.
SIMCA 5 – 1935
SIMCA-FIAT F111 CABRIOLET – 1935
SIMCA-FIAT BALILLA DÉCOUVRABLE – 1936
4 Cylindres ; Vitesse 80 km/h
TALBOT 10 LONDON CABRIOLET – 1936
L’origine remonte entre un accord avec Lord Talbot et Clément Bayard.
Les 1ères Talbot sont issues de la reprise de la marque Darrack par une Société britannique qui cède ses parts en 1935 à Antony Lago. Une allure sportive et luxueusse va alors être donnée aux voitures. Malheureusement, après 1945, la marque sortira des voitures luxueuses mais trop chères qui entraînera leur déclin qui tombera dans la firme de Peugeot après la reprise de Chrysler-Simca.
Talbot cessera d’exister en 1985.